01. 1146, DURANT LA PÉRIODE GORYEO.
Une femme de la province, paysanne vendant le lait de ses brebis et quelques blés qui poussent dans son terrain. L'époque est instable, beaucoup de révolte ont eu lieu suite à la précédente période et c'est avant que le fardeau des lourdes taxes diminuent qu'elle meurent de faim dans son doux sommeil.

Personne ne sera intéressé. Scénario sans queue ni tête. C'EST DE LA MERDE ! 똥한 조각 !

(Certains morceaux de la page sont arraché. C'est à peine lisible. Ileyna s'est énervé une fois, peu de temps après qu'elle est mis des mots contre les feuilles de son vieux carnet.)

02. JE N'EN AI AUCUNE FUCKING IDÉE.
Un homme, seul, au tempérament fort et qui ne s'abaisse jamais devant les autres. Il a fière allure, beau garçon qui semble plaire aux femmes. Il s'occupe de sa vieille mère avant qu'elle ne succube d'une maladie. C'est contagieux et très virulent apparemment, les gens meurent petit à petit. Lui aussi, plus tard, son corps sera tâché d'une obscurité abjecte et dégoûtante : sa beauté cessera d'être au même instant et plus tard, personne ne se souviendra de lui, pas plus que tout les autres.

PLUS DÉPRIMANT S'IL VOUS PLAÎT ? Ileyna, pense à des histoires plus joyeuse. Ou, au moins, avec du rebondissement. Quelqu'un qui mérite d'être sauvé ? ... Franchement la partie avec la grand-mère, c'est à supprimé. BERK Il faut une femme. Une amoureuse. Une famille ou un enfant. Pas une vieille grand-mère moisie...

03. QUELQUE PART EN TEMPS DE GUERRE.
L'histoire de la dame de compagnie de l'héritière d'un général de guerre et de cette dernière, aussi douce que généreuse. La première, un caractère aussi trempé que cet homme déprimant et de sa grand mère. La seconde, capable de répondre, souriant péniblement au sarcasme de sa dame tout en rigolant à ses bêtises. Au fil du temps, les regards ont empruntés un chemin dangereux où l'interdit se mêle à la ronde des sentiments.

Ma poitrine palpite... Si fort ! Pourquoi est-ce que je suis emballée à ce point ? Cette histoire... Je l'imagine déjà. Des ballades à cheval, des mains qui se frôlent à peine et des joues qui osent être aussi rouges que les pivoines dans le champ. J'imagine, oui, des milliers de fois où les lèvres manquent la rencontre avant que le feu entre elles ne s'éteigne, se rappelant qu'elles n'ont pas le droit et que cette héritière mérite mieux qu'une dame pauvre habitant le village d'à côté, qu'elle sera bientôt mariée à un riche inconnu et qu'elles ne se retrouveront qu'après la mort, à la Roméo et Juliette. C'est beau - ça donne des frissons. J'en veux encore. Des milliers comme ça... Parce que ce se sont deux femmes ? J'ai envie de croire en cet idylle. Deux âmes-sœurs ensemble, c'est magnifique. Deux fucking femmes. 젠장 HAHA.

04. 1916, MUNICH EN ALLEMAGNE.
C'est la guerre. L'histoire parle d'une famille uni se préparant à faire face à la guerre contre les français : les femmes restent à la maison et aident au mieux tandis que les trois hommes partent au front. Zoom vers les aventures pittoresques des deux jeunes hommes, quelques passages vers celles du père, et enfin, la découverte d'une lettre au petit matin que l'enfant ouvre joyeusement. On annonce la mort de son aînée, sa mère ne s'en remettra pas et la petite attendra encore et encore son autre frère et son père en perdant ses espoirs.

... Sans commentaire IL-EY-NA ! Pfff.

05. DANS MON CERVEAU NAZE.Cette fois ça raconte - encore - la vie de deux femmes qui... Se tiennent mains dans la mains dans un champ de pivoine et... N'importe quoi ! Non, ça raconte l'histoire d'une femme amoureuse d'un... d'une... de... quelqu'un. OH... MERDE !

(Le carnet a perdu tout le reste de ses feuilles blanches. Les morceaux sont à la poubelle. Il y a des traces de larmes contre les pages encore visible et pleins de gribouillages.)

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